Narbonne semble avoir du mal à organiser les consultations publiques et les méthodes de son Maire sont controversées. Lors des prochaines élections municipales, le bilan de la gestion du Maire et sa capacité à travailler avec l’agglomération de communes du Grand Narbonne devra être prise en compte par les citoyens.
Un entêtement au sujet d’une salle multimodale dont le marché a été attribué illégalement, des spéculations immobilières notamment dans la zone de la Clape et de la Nautique sont la cause d’un affrontement permanent, au détriment de la ville.
Cet article existait sous forme de projet avec mot de passe afin de pouvoir le publier une fois complété. Par manque de temps nous reviendrons dessus dans quelques temps mais nous le publions tel quel.
Le clairon-nouveau.fr du 23 février 2018 : Un important projet de lotissement de luxe contesté par Rubresus
La façade maritime de l’Aude a été jusqu’à présent relativement protégée d’une urbanisation massive, contrairement aux autres départements du Languedoc Roussillon. Les grandes opérations d’aménagement touristiques de la « mission Racine » se sont arrêtées à Gruissan et Port Leucate et les habitations du piémont maritime du Massif de la Clape et du sud de la presqu’île de Leucate ont laissé un important territoire littoral libre de construction. Ainsi, la quasi-totalité du massif de la Clape, les rives de l’Etang de Bages / Sigean, le trait côtier séparé par le grau de l’Ayrolle, la presqu’ile de Leucate, constituent des paysages appréciés, à forte attractivité touristique, mais aussi de lieux ou se perpétuent des activités traditionnelles : viticulture, pêche, pastoralisme.
Différentes réglementations protègent actuellement ces territoires : elles leur ont jusqu’à présent épargné les lotissements intempestifs et autres constructions anarchiques. Mais c’était compter sans l’esprit de lucre de certains promoteurs en quête de « coups juteux » et de retours rapides sur investissement. Cette approche mercantile des opérations d’aménagement débouche le plus souvent sur des résultats économiques et environnementaux opposés aux tableaux idylliques exhibés par ces promoteurs ! A ce sujet, il n’est que de constater ce qu’est devenu le projet touristique de La Grande Motte en Camargue, pour mesurer l’écart abyssal entre les discours lénifiants des promoteurs et la réalité qu’ils laissent derrière eux, une fois les bénéfices engrangés.
Malheureusement, les élus locaux cèdent bien souvent aux charmes de ces habiles sirènes, soit qu’ils y trouvent un intérêt personnel (par ex : la gloire d’inaugurer une « réalisation d’exception »), soit qu’ils s’imaginent qu’attirer des « riches » va profiter à leur commune (cf. la stupide théorie du « ruissellement ») ! Dès lors, acquis à la cause des promoteurs, ils tenteront de contourner les obstacles réglementaires et surtout d’éviter la contestation de leurs administrés, voire de l’étouffer.
C’est exactement ce qui semble se passer à Narbonne pour le projet du Capitoul.
Enquête publique pour projet de luxe
Tel quel, le projet initial ne peut recevoir l’aval des autorités, car il n’est pas conforme aux réglementations d’urbanisme en vigueur (PLU, ScoT, etc.). Dès lors, le seul moyen de le rendre conforme est d’adapter lesdites réglementations. Mais cela n’est possible que si le projet est déclaré d’intérêt général. Qu’à cela ne tienne, il suffit de mettre en place une enquête publique et, si les conclusions de cette enquête sont favorables, on pourra requalifier le projet et mettre en route la machine à changer les réglementations.
Question : en quoi un projet d’hôtellerie de luxe peut-il être considéré comme concourant à l’intérêt général? Si c’est au nom des retombées fiscales, d’une promesse de création de 48 emplois et de stimulation de l’activité économique locale (viticulture, tourisme), il va falloir se dépêcher de déclarer d’intérêt général de nombreuses entreprises du secteur, ne serait-ce que pour respecter le désormais célèbre principe de « concurrence libre et non faussée » si cher aux néo-libéraux européens…
Cela dit, devinez quoi ? L’enquête a bien eu lieu. Vous ne le saviez pas ? Eh bien c’est ainsi. Mais quand ? me direz-vous. Entre le 18 décembre 2017 et le 19 janvier 2018, soit 33 jours, pile pendant la période des fêtes de fin d’année (consulter l’avis ici). Nous ne sommes pas certains que beaucoup de Narbonnais puissent se vanter d’avoir été informés à temps de cette enquête.
Certes, nous n’avons pas eu accès aux résultats, en particulier le nombre de Narbonnais qui se sont précipités en masse pour donner leur avis sur le sujet. Mais cela ne fait qu’un gros mois que l’enquête est close et le dépouillement de la multitude des avis citoyens sur le projet prendra certainement beaucoup de temps…
Pour nous consoler, nous avons, pour l’instant, accès aux documents constitutifs du dossier sur le site de la mairie de Narbonne.
On voit par là que les enquêtes publiques, présentées comme des instruments d’une démocratie participative, peuvent être facilement détournés au profit de pratiques relevant plus de la manipulation et de la dissimulation. Tant que les critères de déclenchement et de validation des enquêtes publiques, ainsi que les règles de leur publicité, ne seront pas plus contraignants, les autorités soumises à cette obligation pourront continuer à détourner le recours à cet instrument de la participation citoyenne, afin de donner l’apparence de la légalité et de la démocratie à des pratiques douteuses.
Des difficultés pour respecter les contraintes environnementales ?
Autre curiosité, l’avis d’évaluation environnementale émis par la MRAe d’Occitanie : cet avis, qui porte sur un dossier d’évaluation environnementale produit par les promoteurs du projet, est obligatoire et le dossier de présentation du projet par la mairie de Narbonne ne se fait pas faute de le signaler, soulignant, avec force références aux articles de loi, son respect de la procédure.
Étrangement, si ce document figure sur le site de la mairie, il faut bien chercher, car nous y avons trouvé deux pages distinctes traitant de ce projet. La première (voir ici) présente les pièces du dossier (avec un indicatif de cote – A, B, C, etc.), mais elle ne mentionne pas l’avis de la MRAe. La second, en revanche (voir ici) présente plus de documents (sans cote), notamment le dernier avis de la MRAe, ainsi qu’un mémoire signé par la mairie, en réponse à cet avis. Pour être tout à fait complet, il faut savoir que, sur le site de la MRAe, figurent deux avis et pas un seul : le premier a été émis le 27 décembre 2016 et le second le 7 juillet 2017.
Deux avis ? Un seul ne suffisait donc pas ? Un seul aurait suffi, si le dossier avait été conforme, mais voilà : le premier dossier, déposé en septembre 2016, n’était pas conforme et le second, déposé 6 mois plus tard, ne l’est pas plus.
Pourtant, ces avis sont fort intéressants et l’on y découvre que les réserves émises par la MRAE, très proches dans les deux avis successifs, portent sur trois domaines : la préservation des paysages, la préservation des milieux naturels et des espèces patrimoniales, la préservation des ressources en eau. Sur ce dernier point, la MRAe met notamment en regard la fragilité de la nappe de l’Aude et la consommation prévisible du complexe, notamment en pleine saison, ainsi que celle, non évaluée, des quelque 20 piscines prévues. Le deuxième avis souligne aussi que les recommandations du premier, sur ce sujet précis, n’ont tout simplement pas été prises en compte.
Dans son document de présentation du projet, la mairie de Narbonne justifie la caractérisation d’intérêt général par de nombreux aspects dont la promotion des paysages narbonnais, la réhabilitation du patrimoine, la préservation et la mise en valeur des espèces naturelles. Deux de ces trois points font justement l’objet des réserves émises, par deux fois, par la MRAE. C’est pas de chance, tout de même…
Un bilan à mi-mandat fait par un citoyen

J’ai beau réfléchir, je n’arrive pas à citer ce que Monsieur Mouly a fait en quatre ans de mandat, j’ai quand même réussi à trouver :
– Le changement du sens de circulation boulevard Gambetta.
– La mise en place d’horodateurs en centre-ville et le lancement d’une concertation publique deux mois après leur installation.
Depuis son élection, sans vision et sans projet global pour la ville, Monsieur Mouly a géré les affaires courantes, ponctuant pendant quatre années d’actions creuses et non réfléchies, à la petite semaine comme on dit…
Et de quelle façon !
A voir la baisse des subventions aux associations – dont l’objectif est de mettre de côté un peu d’argent pour arriver à financer la salle multimodale d’un coût estimé de plus de 23 millions – Monsieur Mouly a créé des clivages très forts dans la population. C’est regrettable. La confiance est rompue.
Le projet de Nouveau Narbonne c’est la réalisation d’une salle multimodale qui a focalisé l’essentiel de l’énergie de notre Maire.
Je me suis déjà exprimé sur ce sujet suite à la réunion houleuse au Palais du Travail à laquelle j’ai assisté en septembre 2017. Je pense qu’il est nécessaire de remettre à plat ce projet et d’envisager d’un côté un vrai projet sportif pour Narbonne et d’un autre un vrai projet culturel. Une réflexion globale sur le Palais du Travail ainsi qu’une coordination avec le Grand Narbonne sont à construire pour envisager autrement le Parc des Expositions.
La liberté d’agir de Nouveau Narbonne se heurte à son incapacité à faire par idéologie apolitique et par repli sur soi.
Nouveau Narbonne était une association originale il y a 50 ans et Hubert Mouly était un homme de valeur en son temps. Mais l’époque a changé et l’héritier actuel n’est qu’une coquille vide étiquetée « Mouly » qui a trompé les électeurs en 2014.
Il est temps que cette association réalise que nous vivons dans un monde ouvert et interconnecté, un monde où les coopérations sont nécessaires pour porter ensemble des projets, que les différences de sensibilités politiques sont des richesses et ne peuvent être écrasées sous le dogme de l’apolitisme. La politique c’est remettre l’engagement citoyen au cœur de l’action démocratique. Refuser cela c’est mettre des oeillères et donner du grain à moudre aux extrémismes.
A la vue de tous, les postures politiciennes des deux bords (PS et NN) ont fait apparaître des oppositions entre une Municipalité et une Agglo repliées sur elles-mêmes et qui a atteint son paroxysme durant ce mandat. Elles sont significatives du peu d’ambition pour l’intérêt général.
Cela ne peut plus durer et il est temps de faire entrer Narbonne dans le 21°siècle.
Concernant la salle Multimodale, à ce jour, nous ignorons si le recours de l’opposition aboutira mais, quelle qu’en soit l’issue, je voudrais solennellement faire appel à l’intelligence de Monsieur Mouly :
Monsieur Mouly, prenez la sage décision d’arrêter immédiatement cette machine infernale qui va plomber les finances publiques pendant des années ! L’argent déjà dépensé n’est rien au regard du trou budgétaire et financier que cet investissement et sa gestion génèreront pendant des années pour Narbonne qui va dépérir car plus aucun investissement d’envergure ne pourra plus être fait. Je suis sûr que vous chérissez Narbonne autant que moi alors soyez responsable.
Au-delà de l’horizon des élections municipales et d’une question de personnes, qui au fond importe peu, avez-vous envie que votre ville fasse banqueroute et passe sous la tutelle de l’Etat pour mauvaise gestion ?
Je suis persuadé qu’au fond de vous-même, vous ne savez pas comment sortir de cette situation : sortez par le haut et renoncez. Vous laisserez ensuite aux narbonnaises et aux narbonnais la possibilité de choisir librement aux prochaines élections : Narbonne leur appartient.
Il est nécessaire de construire un nouveau projet pour, par et avec les citoyens. C’est à une nouvelle génération de prendre les responsabilités et d’imaginer ce projet alternatif qui soit responsable, écologique et durable avec une ambition à la fois humaniste et progressiste. Un projet audacieux et innovant !
Mais ne soyons pas à la remorque ou dans l’attente de l’hypothétique venue d’une gare TGV à Narbonne/Montredon ou d’un tronçon de LGV qui nous fera gagner 15 minutes de trajet.
Arrêtons de nous plaindre des autres et d’attendre la becquée d’en haut. Soyons responsables et plutôt que de dépenser des sommes folles et d’endetter les générations futures soyons force de propositions et à l’initiative pour notre territoire.
Voulons-nous suivre la même trajectoire économique et sociale que Béziers, Carcassonne, ou Perpignan dont les centre-villes déclinent vertigineusement ?
Nous sommes désormais au cœur de la nouvelle région Occitanie. Narbonne est donc idéalement placée pour devenir un pôle d’attractivité économique mais il nous manque encore une locomotive économique : construisons là. Les atouts ne manquent pas: faisons les émerger ou allons les chercher !
Ouvrons notre esprit et vivons dans le monde d’aujourd’hui.
Soyons-en les acteurs.
Nous avons tous en nous cette capacité de faire !
Le clairon-nouveau.fr du 23/01/2018 : Narbonne, histoire d’une mobilisation citoyenne
[…]
C’est ainsi que le fonctionnement de cette participation, aux apparences démocratiques, devient un simulacre fondé sur une information orientée ou tronquée, une consultation publique « aménagée » et des expertises et instances représentatives « sélectionnées » … Ces mauvaises pratiques touchent autant le niveau national que le niveau local. A Narbonne, où les habitants sont déjà confrontés à un projet d’incinérateur de déchets nucléaires, la nouvelle équipe municipale, élue en 2014 et dirigée par le Maire D. Mouly, a pour « projet du mandat » la construction d’une salle multimodale de près de 5 000 places, au sujet de laquelle il semblerait bien que les citoyens n’aient pas eu accès à la totalité de l’information.

Bien que mentionné avec peu de précisons dans le programme électoral du candidat Mouly, le projet définitif de salle multimodale a été découvert par l’opinion narbonnaise, alors que les habitants n’avaient pas été consultés lors de son élaboration. Certains habitants se sont levés contre ce projet, dont la localisation menace de destruction une partie du parc des sports, espace vert et terrain de jeu familial. Ils se sont tout d’abord mobilisés, de manière informelle, pour chercher des informations plus précises sur les caractéristiques du projet. Parmi eux Virginie Birocheau, médecin narbonnais, qui jusqu’alors n’avait jamais milité dans aucun parti politique ou association.
Virginie Birocheau, ainsi que de nombreux usagers du parc des sports, ont voulu en savoir plus. Ce qui leur est apparu très vite, c’est la difficulté faite au public pour accéder aux documents recherchés, notamment sur l’emplacement exact de cette future salle. Cette opacité qui semblait entretenue par la municipalité, loin de décourager V. Birocheau et ses amis, a renforcé leur détermination à connaître tous les aspects du projet et à donner leur avis d’habitants et de citoyens. C’est pourquoi ils se sont constitués en association « Touche pas à mon parc des sports » (TPAMP), avec Virginie Birocheau pour Présidente.
Cette association, forte de 70 membres, a obtenu 4 300 signatures à sa pétition pour défendre le Parc des Sports contre ce projet (ndlr : ce qui représente un score non négligeable pour une ville de 52 000 habitants). Elle intervient en continu dans les réseaux sociaux pour informer le public et organise des manifestations publiques, sollicite un rendez vous avec le préfet, soutient un recours en justice par un de ses membres par ailleurs conseiller municipal d’opposition, etc.
Le projet « tout ficelé » de salle « multimodale » a finalement été présenté aux Narbonnais par la municipalité à la veille du dépôt du permis de construire, sous la forme d’une communication faite d’informations tronquées, partielles ou partiales. Une large partie du public a été choquée par sa localisation, son coût et sa destination, qui ne semblent pas correspondre aux besoins et aspirations de la plupart des narbonnais. Au fur et à mesure de leur découverte du dossier, omissions, flous et incohérences sont apparus au grand jour, sans que le maire, sollicité sur ces questions, ne daigne y répondre en toute clarté. […]Pour la justification de son projet, l’argument est bien connu : il joue la confusion entre légalité et légitimité. Le système électoral français permet de confier les pleins pouvoirs à un exécutif national ou local à un candidat fortement minoritaire au premier tour, mais élu au second tour, dans des conditions qui n’ont rien à voir avec son programme annoncé. C’est le cas pour le maire D. Mouly, élu au second tour par 360 voix d’avance avec 48% d’abstentions et qui n’a rassemblé sur son nom et donc sur son projet que 15,12% du nombre total d’électeurs potentiels au 1er tour ! Pour l’attaque ad personam, elle dénote, en plus du caractère autocratique du maire, un manque de sang froid inquiétant. Il serait utile qu’il se rappelle qu’en démocratie, il dispose d’un mandat qui lui a été confié par les électeurs et qui lui fait obligation de leur rendre compte de façon claire et transparente de l’exécution de ce mandat. Les gesticulations censées prouver l’autorité sont toujours contre-productives et les insultes aux contradicteurs ne font que renforcer leur position au détriment de l’insulteur : comment peut-on oublier cela, comment peut-on s’oublier à ce point ?
Désormais Virginie Birocheau, Sandrine Sirvent, entourées de nombreux sympathisants et contributeurs, publient un journal, «La Causette du Parc » qui se propose de jeter un regard citoyen sur l’actualité et la gestion municipale.
Hubert Reys pour le Clairon de l’Atax le 20/01/2018
Vous pouvez consulter ici la copie du premier numéro de « La Causette du Parc«
Comparatif salle omnisport Perpignan / salle multimodale Narbonne
Grâce à Perpignan qui réalise aussi un projet de salle, les citoyens Narbonnais pourront comparer et apprécier les défauts du projet du Maire de Narbonne.
Le projet de Perpignan en deux phases comme celui de Narbonne, avec également une salle secondaire ne coûtera que 16 millions.
Pour Narbonne la douloureuse se montera à plus de 27 millions d’euros.
Là où Perpignan recevra une subvention de la Région, Narbonne ne recevra pas un centime pour financer ce projet qui est très controversé sur plusieurs points :
– marché conception réalisation juridiquement discutable
– aucune enquête publique
– destruction partielle d’un parc existant
– manque de finances publiques au détriment d’autres projets
blogs.lindependant.com 10/02/2017 : a-propos-du-terrain-des-lavandes-Narbonne Plage
Pourquoi le Conseil Citoyen n’a eu l’information de la vente que la veille au soir du conseil municipal décisif ? N’aurait-il pas pu être informé en aval pour en débattre dans les différentes rencontres avec les habitants du quartier ?
L’independant.fr 16/03/2017 la-grande-surface-a-narbonne-plage-l-inquietude-est-de-taille
Un réaménagement important du front de mer
Un grand chantier, mené par la Ville de Narbonne, est actuellement en cours sur le boulevard du port, entre la place des Karantes et la rue des Plies, ainsi que sur la promenade située face aux villas avancées. Cette opération vise à refaire complètement la chaussée et le trottoir. Afin de promouvoir les modes de déplacements doux, une piste cyclable est intégrée sur la promenade.
Une nouvelle ambition pour les Lavandes
Le groupe Intermarché a choisi Narbonne-Plage pour implanter son nouvel établissement, sur l’emplacement de l’actuel parking des Lavandes. 3 à 4 M€ seront ainsi investis par cette entreprise, afin de proposer un magasin de libre-service permettant d’employer douze personnes à l’année et 40 saisonniers l’été. Son ouverture est prévue au printemps 2020.
De nouvelles résidences modernes
La Ville accompagne également l’implantation de 48 nouveaux appartements dans le cadre de la Résidence Saphir, du T2 au T4, à proximité du futur Intermarché. Ces habitations de standing répondront aux dernières normes de construction en matière de développement durable, en permettant notamment un habitat confortable, à l’année.
Un nouveau standing pour le camping La Falaise
La Ville a confié, en 2016, la gestion du camping La Falaise à la société Tohapi, en délégation de service public. Afin de redynamiser cet équipement et de lui donner un nouveau souffle, plus de 6 M€ sont actuellement investis pour permettre de monter en gamme et d’obtenir trois étoiles.
Des nouvelles modalités de stationnement près du Créneau naturel